Découpe H2O mise sur PolyWorks|InspectorMC pour améliorer la performance de ses systèmes de contrôle dimensionnel 

 

Tous les opérateurs rêvent un jour de pouvoir utiliser un équipement de mesure dimensionnelle de n’importe quelle marque aussi facilement qu’un smartphone. C’est ce qu’a pu faire Découpe H2O lorsqu’elle a adopté l’écosystème numérique de métrologie 3D PolyWorks® pour moderniser ses systèmes de contrôle dimensionnel.  

Découpe H2O a été fondée en 2009 par son président, Marc Wollenschneider. Elle emploie 12 membres du personnel permanents à Brognard, en France, entre Belfort et Montbéliard, dans le département du Doubs. L’entreprise est spécialisée en découpe au jet d’eau, en tôlerie et en mécano-soudure de pièces à partir de dessins ou de spécifications, qu’il s’agisse de prototypes ou de petites productions.  

« Nous offrons également des études d’assemblage basées sur des prototypes. Nous travaillons principalement pour l’industrie automobile et, dans une moindre mesure, dans le domaine de la fourniture de moyens de production d’énergie », explique Marc Wollenschneider. 

Fondée en 2009 par Marc Wollenschneider, Découpe H2O est spécialisée en découpe au jet d’eau, en tôlerie et en mécano-soudure, qu’il s’agisse de prototypes ou de petites productions. 

 

Marc Wollenschneider 

Une visite des installations de l’entreprise permet de découvrir deux centres de découpe au jet d’eau à très haute pression (l’un à trois axes, et l’autre à cinq axes), un centre de découpe au laser de deux à six axes, et deux presses-plieuses, dont la plus grande a une capacité de 200 tonnes et une longueur de deux mètres. De plus, Découpe H2O possède une emboutisseuse à double action (300 tonnes au coulisseau et 100 tonnes au coussin), ainsi que trois centres d’usinage, deux fraiseuses à trois axes, une machine d’usinage par électro-érosion, ainsi que des systèmes de contrôle dimensionnel.  

 

« Nous renouvelons notre parc de machines et nous offrons des services toujours plus intéressants à nos clients. Ainsi, nous restons compétitifs. Par exemple, il y a un an, nous avons investi dans une machine au laser à fibre de 6000 W, et une machine à jet d’eau d’une capacité de coupe de 2,50 x 4 mètres, avec plusieurs centaines de millimètres d’épaisseur. Aujourd’hui, nous avons pratiquement intégré toutes nos machines, et seuls les processus de traitement de surface et de traitement thermique sont externalisés », précise Marc Wollenschneider. 

Le défi

La nécessité d’une métrologie dimensionnelle est apparue en 2013-2014, lorsque l’entreprise a commencé à fabriquer de petites pièces d’emboutissage. « L’objectif était de vérifier la conformité des pièces produites avec les dessins CAO et les tolérances du client. Avant, des outils plus conventionnels suffisaient pour le contrôle des pièces pliées ou de simples pièces de tôle », se souvient Marc Wollenschneider. Des technologies plus modernes étaient nécessaires. 

 

La solution 

PolyWorks était précédemment utilisé pour le palpage 

Dans un premier temps, l’entreprise a acheté un dispositif de mesure à bras articulé pour mesurer les pièces individuelles. Le choix du logiciel de métrologie a été très simple : « Nous avons opté pour PolyWorks|Inspector sur la recommandation d’un ami qui l’utilisait dans son entreprise. Non seulement il maîtrisait bien l’outil, mais il le trouvait aussi très facile à utiliser », déclare Marc Wollenschneider. Il s’est procuré le logiciel auprès de PolyWorks Europa, une filiale de l’éditeur du logiciel PolyWorks, la société canadienne InnovMetric. « Nous avons pu utiliser la version de palpage du logiciel sans suivre une formation. Il nous a suffi d’effectuer quelques recherches pour trouver des réponses à nos questions », ajoute Marc Wollenschneider. 

Comme Découpe H2O était confrontée aux limites de répétabilité et de précision de son propre équipement de mesure conventionnel, l’entreprise a investi dans une machine à mesurer tridimensionnelle (MMT) Tigo SF, équipée d’une tête orientable et développée par Hexagon Manufacturing Intelligence. « En fait, nous avons investi dans cette MMT CNC pour répondre aux besoins de l’un de nos clients », précise Marc Wollenschneider. 

Même si les performances du nouveau système de contrôle dimensionnel répondaient parfaitement aux exigences demandées, un obstacle s’est présenté. Le logiciel acheté au départ avec la nouvelle MMT nécessitait une courbe d’apprentissage plus longue comparativement à PolyWorks, ce qui aurait pu désavantager l’entreprise du point de vue de la réactivité. « J’ai alors contacté Loïc Marquet, responsable commercial chez PolyWorks Europa, pour lui demander si PolyWorks|Inspector pouvait prendre en charge les MMT Tigo SF. À ma plus grande joie, il m’a répondu que c’était possible », se souvient Marc Wollenschneider. 

En choisissant d’intégrer sa nouvelle machine à mesurer tridimensionnelle Tigo SF à PolyWorks|Inspector, Découpe H2O a réduit son temps de mise en œuvre, de connexion et de calibration à seulement deux heures, et son temps de programmation d’une pièce, à 45 minutes. 

La MMT est prête à l’emploi en deux heures 

« Tout s’est passé très vite. Lorsque nous nous sommes parlé, Marc et moi, mercredi en fin d’après-midi, je lui ai montré comment cela fonctionnait avec une machine Tigo SF pendant une démonstration en direct de 30 minutes, et je lui ai envoyé les codes d’une licence d’évaluation. Dès le lendemain après-midi, l’un de nos techniciens de la ligne d’assistance l’a aidé à démarrer, à connecter et à calibrer les outils », explique Loïc Marquet. 

« Deux heures plus tard, la machine fonctionnait en mode automatique pour mesurer la première pièce, puis il a suffi d’une heure de plus pour me former, puisque je connaissais déjà PolyWorks. Au total, je n’ai suivi qu’une heure de formation », insiste Marc Wollenschneider. 

 

Comme Découpe H2O disposait déjà d’une licence PolyWorks|Inspector, il a suffi d’une mise à niveau pour que quatre personnes puissent travailler avec le dispositif de mesure à bras articulé et la MMT. Si l’entreprise a besoin d’une licence supplémentaire pour une période donnée, elle peut en louer une qui contient les modules nécessaires pour effectuer le contrôle requis

Depuis, quatre personnes ont suivi une formation chez PolyWorks Europa : deux métrologues, le machiniste, et Marc Wollenschneider. Ils utilisent maintenant PolyWorks|Inspector quotidiennement, que ce soit pour la mise au point des pièces d’emboutissage, le contrôle en cours de production ou la validation des pièces mécaniques. Le logiciel est également utilisé pour ajuster les dispositifs de soudage. De plus, l’entreprise fournit des services de mesure à certains clients.

Les avantages

Le premier atout réside dans la grande simplicité et la rapidité de mise en œuvre. « Un autre avantage est le temps nécessaire pour programmer l’inspection d’une pièce sur la MMT CNC. Grâce à une programmation intuitive et visuelle, une tâche qui pouvait nous prendre plusieurs heures avec le logiciel acheté au départ ne nous prend plus que 45 minutes avec PolyWorks|Inspector, explique Marc Wollenschneider. C’est d’autant plus important, car nous fabriquons énormément de pièces différentes. » 

Un autre élément qui rend l’écosystème numérique de métrologie 3D si rapide et facile à mettre en œuvre sur une MMT, c’est qu’il comprend déjà un vaste ensemble de machines préconfigurées, auxquelles nous ajoutons des outils spécifiques. « Dans le cas de la MMT Tigo SF et de sa tête motorisée, les deux composants étaient disponibles dans notre catalogue, permettant ainsi une connexion directe à PolyWorks|Inspector en choisissant simplement chaque élément dans le menu déroulant. Il s’agit réellement d’une solution prête à l’emploi », explique Loïc Marquet. 

« De plus, il n’est pas nécessaire de demander qui connaît la MMT ou le bras portable parmi les quatre personnes ayant suivi la formation sur PolyWorks|Inspector. C’est exactement le même logiciel, et chaque personne est capable de lancer une séquence de mesure et de produire le rapport de mesure », poursuit Loïc Marquet. 

Un flux de travail universel  

Le principe directeur de PolyWorks|Inspector repose sur un « flux de travail universel », qui fait toute la différence. « L’universalité signifie que notre plateforme de métrologie 3D a été développée de manière à ce que le logiciel et l’approche demeurent toujours les mêmes, et ce, quel que soit le dispositif de mesure avec lequel nous travaillons. Qu’il s’agisse d’applications de scan ou de palpage, nous offrons des plug-ins pour les dispositifs portatifs, les laser trackers, les machines à commande numérique (MMT CNC), et bien plus encore, et ils sont tous inclus dans le prix d’achat initial. Toutefois, le flux de travail de l’inspection d’une pièce reste toujours le même, ce qui facilite l’adoption par les utilisateurs », mentionne Loïc Marquet. 

Enfin, en ce qui concerne les coûts, Marc Wollenschneider ajoute ceci : « Nous avions calculé que le contrôle dimensionnel de trois ou quatre pièces complexes suffirait à amortir le prix d’achat de la mise à niveau de la licence ». Il a également des projets pour l’avenir.«Les possibilités sont nombreuses, comme l’intégration de scanners laser dans PolyWorks|Inspector. » 

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